La combustion du bois émet différents polluants, en premier lieu des particules (mais aussi des composés organiques volatils, des hydrocarbures aromatiques polycycliques, de l’ammoniac, du monoxyde de carbone et des oxydes d’azote entre autres).
À court terme, les particules issues de la combustion de bois augmentent le risque de contracter diverses maladies respiratoires et cardiovasculaires.
Sur le long terme, ces particules influeraient aussi sur la santé périnatale (poids de naissance et naissance prématurée).
Ces effets sur la mortalité et la morbidité sont à la fois liés à la taille des particules (principalement des particules fines) et à la composition chimique de ces dernières.
Un peu plus de 6 000 : c’est le nombre annuel de décès attribuables à l’exposition prolongée aux particules fines PM2.5 quelle que soit leur source, en 2019 en Île-de-France.
Il s’agit du polluant réglementé ayant l’impact sur la santé le plus important dans la région.
De nombreux polluants sont émis, y compris dans le salon où se trouve la cheminée, impactant ainsi la santé des personnes présentes, d’autant plus s’il s’agit d’enfants en bas âge dont les poumons ne sont pas encore complètement matures.
Des effets néfastes pour la santé.