Les problèmes de qualité de l’air liés au chauffage au bois sont liés à une mauvaise combustion.
Les particules mises en évidence peuvent provenir de différentes origines.
Les particules peuvent provenir des foyers ouverts, des appareils à bûches anciens et non performants, des appareils mal entretenus et/ou utilisant du bois de mauvaise qualité et le plus souvent du bois qui n’est pas sec.
Une bonne combustion doit être la conjonction de plusieurs éléments :
Un combustible homogène et sec = C’est le cas du granulé et la certification garantit ce point.
Un appareil performant = C’est le cas des appareils à granulé qui bénéficient d’un rendement élevé et émettent très peu de particules.
Plus de 96% des poêles et chaudières à granulé ont moins de 10 ans et sont donc issus des technologies les plus modernes et performantes.
Une alimentation adaptée et maîtrisée en combustible et en oxygène = C’est le cas des appareils à granulé qui sont automatiques.
Comme pour tout combustible, il ne faut pas oublier l’entretien de l’appareil afin de maintenir ses performances.
Les facteurs d’émissions de particules pris en compte en France pour les différents appareils au bois reflètent bien cette réalité.
Nous pourrions même considérer que si toutes les personnes qui se chauffent au bois actuellement, utilisaient un système au granulé de bois, le bois ne serait pas montré du doigt lors des épisodes de pollution atmosphérique.
Le chauffage au granulé de bois est une vraie solution pour une meilleure qualité de l’air, car c’est la forme la plus high-tech du bois énergie et celle qui présente les émissions particulaires les plus faibles.
Pour ce qui est de l'assèchement de l'air, il n'y a aucune information dans le texte qui évoque directement l'assèchement de l'air par les poêles à bois.