La pompe à chaleur est passée d’un taux de pénétration de deux pour cent à 18 pour cent tout juste au cours de la même période.
Elle s’est pratiquement imposée comme une norme, avant tout dans les nouvelles constructions, qu’il s’agisse de pompes à chaleur sol/eau ou de modèles air/eau.
Les systèmes de chauffage à base de biomasse, comme la chaudière à pellets Hoval BioLyt, ont également le vent en poupe : le fait qu’elle soit en mesure d’atteindre aisément de très hautes températures de départ et que le combustible bois pousse en quantité suffisante dans nos forêts constituent des arguments de poids.
La numérisation va, elle aussi, marquer de son empreinte le chauffage du futur.
Les solutions SmartHome permettent déjà de tout piloter à distance, ou presque.
Qu’est-ce que le futur pourrait encore nous réserver ?
En marge des solutions mentionnées, il existe toutefois des technologies prometteuses encore peu répandues et en phase de recherche.
Citons notamment le chauffage générateur d’électricité, une mini centrale nucléaire à lui seul : un moteur fonctionnant au gaz produit de l’électricité et la chaleur émise est utilisée pour le chauffage et pour l'eau chaude.
Un bon moyen de réduire le CO2.
Plus écologique encore, le chauffage par pile à combustible dans lequel une pile à combustible fournit de la chaleur et du courant par la réaction chimique entre l’oxygène et l’hydrogène contenu dans le gaz naturel, autrement dit la combustion froide.
Le complément idéal pour le mix de solutions de chauffage du futur?