L’un des grands avantages de la poêle en céramique par rapport à d’autres modèles avec revêtement, c’est qu’il est possible d’effectuer des cuissons à haute température.
En revanche, gare à l’accroche des aliments : au-delà d’une certaine température, le revêtement seul n’est plus suffisant pour garantir une cuisson sans adhérence.
L’inconvénient majeur reste la présence d’un revêtement dont on connaît mal l’origine et qui, de surcroit, s’abîme avec le temps.
De plus, la céramique est un matériau fragile : il faut la manipuler avec précaution sous peine de la fissurer.
À long terme, il s’agit donc d’un investissement non-durable.
Malgré un procédé de fabrication soit disant « naturel », la poêle en céramique est-elle totalement saine pour autant ?
Pas si sûr… Car il ne faut pas oublier que pour lui octroyer ses propriétés anti-adhésives, ce type de poêle dispose d’un revêtement.
Et c’est là que le bât blesse.
Il est en effet difficile de trouver des informations fiables sur sa composition exacte.
Notons également que toutes les poêles avec revêtements finissent inéluctablement par se détériorer et doivent donc être changées.
C’est l’usure de ce revêtement qui peut être source de désagréments et qui finirait par rendre ce type de poêle dangereux pour notre santé.