Si ce dernier reste en effet une énergie renouvelable et plus respectueuse du climat que d’autres énergies fossiles comme le fioul ou le gaz, il libère une quantité significative de particules fines nocives.
Atmo France, le réseau de surveillance de la qualité de l’air, a ainsi rappelé auprès de l'UFC que, dans certaines régions, comme les Hauts-de-France et la Normandie, jusqu’à 25 % des particules fines proviennent de la combustion du bois pendant l’hiver.
Cette norme impose le respect de plusieurs critères stricts en termes de performances énergétiques, mais aussi d’émissions de polluants : monoxyde de carbone (CO), oxydes d’azote (NOx), composés organiques volatils (COV), particules en suspension…
Le projet de loi remodelé pourrait être remis en consultation à la fin de l’année, indique encore l'UFC.
L’entrée en vigueur de la nouvelle norme est, elle, toujours prévue au 1ᵉʳ janvier 2027 et qu'il faut ainsi s’attendre à ce que les fabricants "renouvellent leurs gammes d’appareils" pour y répondre, ce qui pourrait entraîner une hausse des prix à court terme.