Les émissions de gaz à effet de serre associées au chauffage via granulés de bois apparaissent assez faibles, largement moindres que celles liées à des chaudières au gaz ou au fioul par exemple.
Certes réduites, les émissions des modes de chauffages basés sur les granulés de bois ne sont donc pas nulles, ni même proches de l'être.
Tout phénomène de combustion émet des polluants atmosphériques, tranche d'ailleurs l'Ademe, précisant que plus la combustion est optimale, moins les émissions polluantes sont élevées.
Pour deux tiers des poêles testés, les émissions de particules sont faibles, mais non nulles, et ce dans toutes les conditions de fonctionnement de l’appareil.
Le type d'utilisation modifie grandement l'impact.
Leurs réglages jouent un rôle, ainsi que le dimensionnement de leur puissance ou des conduits.
Mais l'impact se mesure aussi au niveau des émissions : celles de carbone suie sont très faibles à allure nominale pour les chaudières à granulés, peuvent augmenter très significativement à allure très réduite.