Quelles sont les exigences de la nouvelle norme Écodesign 2027 pour les poêles à bois ?

La révision prévue en 2027 ne concerne que les appareils neufs. L’objectif est simple : remplacer progressivement les appareils anciens ou peu performants (foyers ouverts, anciens poêles) par des systèmes modernes, mieux régulés, moins émetteurs et plus efficaces. La filière anticipe déjà ces exigences. HARGASSNER propose des chaudières répondant aux critères les plus stricts, avec des technologies à haut rendement et labellisées Flamme Verte. Utilisé dans un appareil performant, il allie efficacité, maîtrise des émissions et souveraineté énergétique.

Les futures normes et réglementations européennes ciblent principalement les appareils de chauffage au bois aux performances insuffisantes en matière d’émissions. L’avenir des poêles à bois s’inscrit dans une dynamique d’innovation et d’écoresponsabilité. Face aux exigences environnementales croissantes, les fabricants développent des technologies de combustion plus propres et plus performantes. L’objectif est de réduire les émissions de particules fines tout en optimisant le rendement énergétique. Des systèmes intelligents, comme la technologie iQ de HASE, permettent une régulation automatique de la combustion, garantissant ainsi une diminution significative des polluants. De plus, l’intégration de catalyseurs dans certains modèles promet d’améliorer encore davantage leur impact écologique. Par ailleurs, les nouvelles normes à venir poussent le secteur à proposer des équipements toujours plus conformes aux normes environnementales, rendant les poêles à bois un mode de chauffage durable et compatible avec la transition énergétique. Ainsi, loin de disparaître, les poêles à bois de nouvelle génération deviendront une alternative performante et respectueuse de l’environnement, répondant aux attentes des consommateurs soucieux d’un chauffage à la fois économique et durable. Alors que l’Union européenne se dirige vers une réglementation plus stricte des appareils de chauffage au bois d’ici 2027, les poêles HASE, grâce à leurs performances élevées et à leur technologie iQ avancée, se positionnent comme des solutions conformes et respectueuses de l’environnement.

L’Europe travaille sur une révision des normes Ecodesign 2027, mais rien n’est figé. L’objectif? Réduire les émissions polluantes en modernisant le parc existant. En d’autres termes, les vieux appareils devront progressivement laisser place à des modèles plus efficaces, comme les poêles RIKA. Des performances au-delà des normes Les modèles RIKA sont conçus pour brûler le bois de manière ultra-efficace, limitant au maximum les émissions polluantes. Plutôt que de subir les changements à venir, prenez une longueur d’avance avec un poêle RIKA : ✅ Conforme aux futures normes dès aujourd’hui ✅ Meilleure efficacité énergétique = moins de bois consommé ✅ Émissions réduites pour un impact écologique limité ✅ Un confort absolu et un design premium Grâce aux poêles modernes, les émissions de particules fines seront divisées par trois d’ici 2025. Le secret d’un chauffage propre? 👉 Un appareil performant comme un poêle RIKA 👉 Un combustible de qualité (bois sec, granulés certifiés) 👉 Un bon usage (entretien régulier, réglage optimal)

Les poêles à bois et cheminées pourraient, à terme, être menacés par de nouvelles dispositions légales. L’objectif de la Commission européenne est de réduire drastiquement les émissions de particules fines, une source majeure de pollution de l'air, via de nouvelles normes et exigences… qui pourraient rendre obsolètes une grande partie des appareils de chauffage au bois, notamment les poêles et cheminées les moins récents, jugés trop polluants. Le bois reste un émetteur de particules fines lors de la combustion. Des micropolluants, invisibles à l'œil nu, qui ont un impact direct sur la pollution atmosphérique, surtout en hiver. Les poêles à granulés, moins émetteurs de particules fines, semblent tirer leur épingle du jeu. Ils présentent aussi l’avantage d’offrir une meilleure efficacité énergétique.

La Commission européenne planche sur les futures normes pour les moyens de chauffage au bois. Le projet prévoit des normes si strictes qu’elles conduisent certains à envisager une disparition pure et simple des poêles ou des chaudières à bois dès 2027. Là-bas, les représentants de la filière ont avancé que les nouvelles normes sortiraient du marché la grande majorité des modèles de poêles à bois disponibles et pourraient conduire à une hausse importante de leur prix. Une autre exigence est sous le feu des critiques : celle d’équiper les systèmes de chauffage au bois de systèmes de régulation automatique. Une telle exigence ne permettrait plus à ces systèmes de fonctionner sans électricité.

Aucune interdiction du chauffage au bois en 2027. La rumeur autour de l’interdiction du chauffage au bois découle de la révision en cours de la norme européenne Ecodesign, qui encadre les appareils de chauffage. Initialement prévue pour 2027 avec des exigences strictes et difficiles à atteindre rapidement, cette évolution a été suspendue par la Commission européenne afin d’approfondir son étude, sous la pression des États membres. Comme toute énergie, le chauffage au bois doit respecter des critères environnementaux et d’efficacité pour rester une solution durable et économique. Cependant, il n’a jamais été question d’interdire les équipements conformes aux normes en vigueur. Le plan d’action gouvernemental lancé en 2021 poursuit son objectif : accélérer le remplacement des anciens appareils par des modèles plus performants, promouvoir l’utilisation de combustibles de qualité et sensibiliser les consommateurs aux bonnes pratiques. Un impact environnemental en forte amélioration Le bois, en brûlant, émet des particules, mais les progrès technologiques des appareils et l’amélioration des combustibles et la bonne conduite des appareils ont considérablement réduit ces émissions, améliorant ainsi la qualité de l’air. Entre 2012 et 2023, les émissions du chauffage au bois domestique ont diminué de 40 %, grâce à des équipements plus performants et au renouvellement du parc existant. D’ici 2025, cette tendance devrait encore s’accélérer avec une réduction estimée par trois des émissions de particules fines. Il est essentiel de bien différencier deux notions : La qualité de l’air, mesurée en temps réel par des stations de surveillance. Les émissions de polluants, estimées à partir de différentes sources mais qui ne reflètent pas directement l’air respiré au quotidien. Selon le Laboratoire Central de Surveillance de la Qualité de l’Air, le chauffage au bois domestique représentait en 2021, 22 % des concentrations annuelles de particules fines en France, bien loin des 60 % souvent évoqués à tort. Aujourd’hui, près de 8 millions de foyers français utilisent le chauffage au bois, qui demeure la solution de chauffage la plus économique. Grâce aux efforts de toute la filière, cette énergie renouvelable joue un rôle clé dans la transition énergétique et l’indépendance énergétique du pays.